mardi 7 juin 2011

Libye rebelles frustrés par la stratégie de sécurité d'abord de l'OTAN


La tension entre les rebelles et libyenne commandants de l'OTAN est de plus en plus sur la tactique militaire utilisée pour faire pression sur les forces du colonel Kadhafi.


Les chefs rebelles à Misrata dire qu'ils sont invités à ne pas lancer pousse plus loin contre les troupes de régime à l'est de la ville, et de réclamer qu'on leur a dit de ne pas franchir certaines «lignes rouges», même si elles se sentent prêtes pour la bataille.

La frustration sur le terrain a été renforcée par leur conviction que les troupes de Kadhafi sont démoralisés et épuisés après près de trois mois de conflit.

Bien que les responsables de la coalition insistent pour dire qu'ils n'ont pas émis d'ordres directs de ne pas attaquer, ils admettent qu'ils sont inquiets que des civils sont pris dans les combats chaotiques plus loin, et ne veulent pas les troupes rebelles étant frappé accidentellement par les bombardements par l'aviation de l'Otan. Ceux-ci continuent le lundi, lorsque Tripoli a connu ce qui était peut-être le bombardement lourd jour par l'OTAN depuis les frappes aériennes ont commencé en Mars. RAF Typhoon et Tornado jets ont chuté de plus de deux douzaine de bombes, en ciblant le siège de la police secrète dans le cœur de la ville, et une importante base militaire sur sa périphérie.


L'OTAN affirme qu'il n'a pas émis formelle lignes rouges aux rebelles, mais reconnaît qu'il existe un danger réel pour leurs forces s'ils s'éloignent dans des zones qui sont ciblées par des tirs de missiles et de bombardement. La coalition a besoin de connaître les domaines qui sont sûrs de bombarder des civils et claire, a déclaré une source. «Personne ne veut un retour à la nature de la confusion qu'il y avait avant. Otan a le devoir très clair pour que les civils ne sont pas pris dans les combats."

Alors que les commandants de la coalition ont un grand respect pour le courage des rebelles, ils ont aussi peur, ils restent relativement désorganisée.

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