mercredi 18 janvier 2012

Dans «Manon,« Meilleur de fermer les yeux



PARIS-directeur Coline Serreau demande trop de l'auditoire avec sa nouvelle mise en scène de Jules Massenet «Manon». Elle passe la première moitié sans merci d'envoyer jusqu'à le favori vénérable vieillard, empilant sur gags visuels qui vont de l'idiot de ridicule, et puis quand les choses tournent tragi-il pas un secret que l'héroïne volage jeunes meurt-elle la joue droite, semblant attendre la auditoire à travailler jusqu'à une réelle sympathie pour les personnages en carton qui ont été mis en place tant que faire-valoir comique. Heureusement, la musique se précipite à la rescousse.

Basé sur un roman populaire, 1731 par le Prévost historien-romancier-prêtre l'abbé, le 1885 "Manon" est l'histoire d'une fille de la campagne envoyée à Amiens pour entrer dans un couvent. Elle est accueillie par son cousin, dissolue Lescaut, et capte instantanément l'attention de deux hommes âgés et riches, mais elle tombe pour la jeune, beau chevalier des Grieux. Les jeunes amoureux s'enfuient à Paris, mais son père et son attirance pour la vie étincelante haute bientôt briser l'idylle, la dévastée Des Grieux se prépare à entrer dans la prêtrise, elle lui gagne en arrière, mais l'égare, et il se termine dans les larmes.

Le mélodrame ouvre sur une note gaie, mais Mme Serreau sauts avec assez maladroites farce. Les jeux sont pour la plupart spectaculaire, mais les costumes sont un kaléidoscope de trois siècles méli-mélo, avec des redingotes du 18e siècle, Belle Epoque ballgowns, 1940 mafiosi et des essaims de punks percés et les Goths. Wayward Lescaut arrive sur une moto, tout en cuir noir, chaînes et d'énormes cheveux hérissés. Il ya quelques animations S & M, et un trio de mecs torse nu dans les bonbons de couleur grosse jupes soir.

La principale victime de la surpuissance est ténor Giuseppe Filianoti, comme Des Grieux. Tout d'abord, un panneau jokey descend derrière lui, en forçant un bon rire de l'auditoire en plein milieu de sa belle "rêve" Aria; plus tard, comme un prêtre novice, il doit chanter la longue scène de l'église portant un passionné mousseline noire transparente soutane sur un pantalon en satin.

À son grand crédit, il gère tout cela très bien. Il en va de la soprano Natalie Dessay dans le rôle titre, même si parfois elle semble étirée. Bass-baryton Paul Gay se distingue comme le comte des Grieux, et le baryton Franck Ferrari clowns son chemin à travers tant Lescaut.

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